• le dictionnaire comporte 120 000 mots


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    A l'occasion du jour de l'an berbère l'association A.K.T organise un repas culturel
    le 15 janvier à 19h30
    au café des variét's à Vienne

    Tarif : 15 euros adultes et 10 euros enfants

    Réservations au : 04 74 85 05 28

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  • °★° 3° édition - FESTIVAL CHAOUI – Samedi 17 Avril 2009°★°
    °★ ° ★° Après le succès des deux éditions précédentes,

    LE FESTIVAL CHAOUI MARSEILLE !!

    est devenu le lieu ou se retrouve les fans de culture Chaoui, nous réitérons, cette évènement culturel qui a réunis plus de 1500 personnes venant de tout l'hexagone .°★ ° ★°



    °★° cette année MAM’S PROD vous prépare de nombreuse surprises °★°

    Nous vous garantissons un gala haut en couleurs avec une scène artistique jamais mise en place en France bientôt plus d’infos sur nos invités .

    Cette édition FESTIVAL CHAOUI 2010 sera enrichie par une exposition de bijoux Berbères , un défiler de tenues traditionnelles Chaouia ainsi qu'un ballet de danse Berbère avec la participation de l’Association AKT et la troupe Magie D’orient.

    Vous êtes conviés à un voyage musical et culturel de Marseille aux Aurès avec le meilleur de la musique Chaoui.


    ★°•° ★ - News - POSSIBILES DEPART PARIS & LYON !!! ★°•° ★



    °★° Infoline – 06 28 52 62 32 °★°

    PAF : 25 € en prévente (Point de vente prochainement communiquer )
    30 € sur place


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  • la petite ville de Plombières- les – Dijon a eu la bonne idée de baptiser son nouveau centre social du nom de Germaine Tillion, qui fonda ce type de structures en Algérie. Pour inaugurer cette démarche elle a demandé à la Maison de Méditerranée de Dijon d'animer le week-end des 23 et 24 avril 2010 sur le thème de l'Aurés et de la culture chaouie, de ces mondes où Germaine Tillion commença sa carrière d'ethnologue dans les années 1930. Fidèle à sa démarche, la Maison de Méditerranée animera donc la soirée du vendredi 23 avril ( 20h, salle des Banquets, rue Pasteur) en présentant ce massif montagneux, et cette culture chaouia, en privilégiant les liens qui existent entre ces mondes et notre région bourguignonne. Ce haut lieu de l'Histoire algérienne est encore vif dans beaucoup de mémoires françaises. Grâce aux Dijonnais de culture chaouia, dont certains se rappellent du passage de Germaine Tillion dans leur vallée, et à ceux qui, dans diverses circonstances, "ont eu 20 ans dans les Aurès ", à leurs témoignages, à leurs photos de diverses époques, à l'artisanat témoin d'une culture appréciée, … les Aurès seront de nouveau présents dans le Grand Dijon, 50 ans après le bref jumelage qui réunit ces deux régions si loin de la Méditerranée.

    Le samedi 24 après-midi, lors de la fête au centre Germaine Tillion de Plombières, la Maison de Méditerranée présentera de l'artisanat chaoui , une exposition sur les Aurès, sur les films qu'ils ont inspiré (depuis "Le vent des Aurès" de Lakhdar Hamina, jusqu’à " La maison jaune", 2008, du bisontin Amor Hakkar) et des robes d'inspiration chaouia de l'association Aurèsienne Kahina Tamazghirt

    D'ici là, tous les témoignages seront bienvenus à Maisondelamediterranee@yahoo.fr

    Ou Maison de Méditerranée c/o MJC Montchapet, 1 ter rue de Beaune, 21000 Dijon


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  • Fils de l’écrivain algérien subversif Kateb Yacine, Amazigh, arrivé en France, précisément à Grenoble, en 1988, est connu depuis 1992 comme leader du groupe Gnawa Diffusion. Il chante un peu en français et beaucoup en arabe, un choix assumé. De l'humour, à tous les degrés, Amazigh n'en manque pas. Mais il n’a jamais, pour autant, laissé son esprit contestataire au vestiaire. Amazigh, engagé ou enragé, ne mâche pas ses mots. D'ailleurs, on vient à ses concerts à la fois pour danser et communier, prendre un bain de musique et, au passage, quelques leçons de droits de l'homme.

    Lors de cette soirée, il jouera notamment bien des titres de son premier album solo qu’il définit ainsi : « C’est une insomnie en forme de manifeste : un manifeste pour l’amour, la révolution, le rire, la danse, la sueur et la résistance. Il correspond à un besoin de faire le bilan humain et artistique de vingt ans d’exil et de deuil, de route et de scène, de solitude et de collectif. C’est une nouvelle naissance à plus d’un titre. Sur le plan artistique et musical, ce travail est recentré autour de la voix et du texte, en laissant de l’espace aux instruments et à l’interprétation. L’aspect général est rugueux et utilise une grande variété de sonorités ethniques, mises en relief et en valeur par des sons modernes qui s’y mêlent pour donner un ensemble de sensations et d’ambiances allant de la chanson chaâbi au raï, en passant par le gnawi, le ragga, le reggae, le rock, l’électro ou le hip hop… Parmi les éléments nouveaux qui caractérisent cette nouvelle production, il y a aussi la rencontre tellement souhaitée du vers paternel avec la mélodie d’un fils. Il est devenu soudain possible d’offrir à un père trop tôt parti une partie de vie et d’émotion, de couleur et de sensation, pour lui rassemblées en bouquet. C’est un plaisir de s’accaparer une écriture, autant qu’elle peut vous emmener. Je ne rêve plus de mon père. Il est debout à mes côtés. »


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