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Quand deux femmes créatrices se rencontrent, elles créent et tout se transforme..." ALCHIMIE D'OXIGENE " A l'occasion de la journée de la femme 2009, nous organisons à Grigny une exposition de femmes artistes ou artisanes dans divers domaines créatifs. Les femmes intéressées par cette manifestation peuvent envoyer leurs coordonnées et un aperçu de leurs réalisations avant le 31 décembre 2008 à espacedecreations@yahoo.fr
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Tissages : NEMEMCHA BABAR Tebessa Khenchela
L'art du tissage était donc directement lié à la vie quotidienne des Nememcha. La description du tapis Haracta Nememcha est un véritable exercice de style, le "qt'if" par exemple est un tapis servant de meuble, il est étroit et long, extrêmement épais, les boucles laineuses peuvent atteindre sept centimètres. L'étoffe est veloutée, le tapis est serti sur les côtés, ce qui en souligne les contours fins d'une assez belle manière. La décoration est une sorte de fractionnement du champ en secteurs encadrés de listels (petites moulures plates qui en surmontent ou en accompagnent une plus grande), des bordures parallèles peuvent courir sur toute la longueur. Les cléments décoratifs des bordures et du champ se caractérisent par des dents de scie, étoiles. hirondelles, empreintes de lion, ou œillets stylisés se détachent souvent d'un fond très coloré fluctuant au gré de l'inspiration du maître d'œuvre. en général il y a toujours une consonance berbéro-orientale, il est inutile de rappeler que la teinture se fait naturellement avec de sensationnels demi-tons qui sont obtenus par épuisement de bains. ce qui donne un caractère artistique sans égal à ce tapis légendaire. Costumes : AURÈS Le costume traditionnel des resplendit d'une beauté, sobre encouragée par la nature de la région. On découvre alors un costume féminin fait d'une large chemise aux manches amples appelée le Maqdha dont le métrage égale deux fois la personne qui le porte. Le tissu est replié sur lui-même et les côtés sont cousus sur toute leur longueur, hormis au niveau des bras. Une fente permettra le passage de la tête, la chemise en cotonnade unie est fendue sur vingt centimètres au niveau de la poitrine souvent de couleur marron ou bien rose. La Tâjbibt est la robe du dessus. elle est enfilée sur le maqdha. c'est une sorte de gandoura de même genre que la précédente mais sans manches rapportées, réalisée en cotonnade de fantaisie. Les femmes dans un souci d'élégance en mettent plusieurs différentes. En avoir beaucoup est un signe de richesse. Les azriyat (femmes libres) en portent trois ou sept. Le El-Hâf est la pièce essentielle du costume. La robe du dessus est un vêtement flottant qui s'apparente au Peplos Dorien (habit grec) cité par Hérodote. Le El-Hâf est fait d'une pièce d'étoffe de dix mètres de long dont la largeur dépasse quatre-vingt centimètres. Cette pièce est coupée en deux parties égales qui sont assemblées sur toute la longueur par une couture. Le El-Hâf est conçu dans une cotonnade noire. Pour la ceinture, elle est travaillée exclusivement par la femme auresienne qui la tresse dans de la laine multicolore. Celle-ci sera ensuite enroulée autour de la taille et nouée sur le côté. Le Tajdidh est usité comme manteau d'hiver, on le retrouve sous la forme d'une pièce d'étoffe qui enveloppe les épaules et tombe aux chevilles. Il est tissé par les femmes dans une laine blanche et épaisse, ornée parfois de bandes brunes qui tombent vers le bas. Les deux extrémités du manteau sont accrochées entre elles par une broche: "l'amessak". L'0ugâ est aussi tissé d'une manière exclusive par les femmes, c'est d'ordinaire un tajdidh de fine )aine blanche ou plus rarement en soie blanche qui est mis durant les fêtes et les cérémonies. Le Kettaf, vêtement de même genre que l'ougâ, avec cette différence que ce ne sont pas les femmes qui le réalisent. Ce sont deux étoffes de soie, réunies entres elles sur toute la longueur et dont le métrage dépend de la taille de la personne. Broderie : M'NEAA La broderie de M’NEAA, découle directement de la technique du tissage. ce qui nous donnera un style de broderie qui brille par son originalité. La ville de M'neaa est très réputée pour ses tapis. ce qui fait que le point utilisé est réalisé au fil de laine très fine qui laisse la place de temps à autre au fil de coton. le point de croix revient dans la majorité des travaux. La réalisation de ces ouvrages répond à une succession d"opérations. La femme dessine des Formes géométriques sur un support de laine dans une gamme de couleurs qui restent les ocres. Le tissage représente une grande industrie artisanale. ce qui se fait au détriment de la broderie. qui de ce fait reste peu appréciée par les gens de cette région. à l'époque coloniale. les missions chrétiennes ont ouvert des ateliers de broderie gérés par des sœurs, ces dernières ont introduit de nouvelles techniques dont les résultats donnaient des ouvrages subtils et élaborés au niveau des formes et des couleurs qui sont devenues chatoyantes et variées, introduisant une nouvelle tendance stylistique, car les inspirations graphiques venaient à vrai-dire du nord du pays.
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Une légende, Taghenja, la fiancée de la pluie, réunit aujourd'hui tous les berbères du monde : trente-deux millions de personnes vivant au maroc, en algérie, en libye, au mali...D'autres, aux îles cannaries, en france, aux états unis, au cannada
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“salut a tous je m’apelle djellal akram fils de djellal mohamedtayeb frére de lhadi geundouz on habitte actuellement en algérie centre et cette yamina mechakra et une grande écrivaine je la remercie d’avoir pensé a mechtab (meskiana) ou mes el kahina elle et de la famille de la femme de mon oncle qui est mort il ya 6 ou7 ans de ça il s’apelle lhadi geundouz sil vous plait a tous les habittants de meskiana de me contacter a mon adress msn sur: versay-boom@hotmail.fr”
Ce commentaire a été posté par djellal.
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